Irina Dopont 
 
Ô
 
 
Une musicienne sans instrument.
Une femme et un homme fantômes. 
Ce texte évoque à la fois le miracle de la rencontre des corps et le vertige du vide. L’un et l’autre en écho, en silence aussi. En espoir peut-être. 
Ô douleur, ô charnelle beauté… 
Les silhouettes androgynes peintes par Marika Taoufiq, révèlent une force et une détermination, un mouvement de vie. Elles portent cette musique intérieure omniprésente dans l’écriture d’Irina Dopont.