La plume d’acier de Françoise Albertini calligraphie des mots, trace des compositions plastiques qu’elle appelle « Tableaugraphies », se transforme en burin pour des gravures qui tentent de fixer l’éphémère et se hasarde dans des objets, quasi sculptures, inspirés par des auteurs, où fusionne son attachement à l’écriture et au geste.
J’opte volontiers pour l’intitulé « livres-objets » plutôt que livres d’artistes – il correspond à ma démarche personnelle.
Comment, à partir d’un texte, d’une forme, d’une ou plusieurs matières, d’une idée, au départ sommaire, réaliser un ensemble cohérent ? C’est ce défi qui m’intéresse, c’est lui qui anime ma passion vers une création que je désire unique.
Quelques fois, j’y parviens… quelques fois…